« La brique Kempisch klompje posée en appareillage sauvage avec un tiers de sable rhénan. C'est le summum. » Les yeux de l'architecte Christine Ceuppens s'illuminent lorsqu'elle parle de sa brique Olivier préférée. Ce n'est pas un hasard : pour sa propre maison, elle a également choisi Olivier et la brique Kempisch klompje.
Il y a 23 ans, Christine Ceuppens (45 ans) concevait sa première maison. Les briques utilisées pour ses débuts dans l'architecture ? Elles provenaient d'Olivier. « Elles sont toujours en très bon état », dit-elle en souriant. « Avec les briques, c'est souvent une question de sensation. Avec Olivier, ça a tout de suite collé. Les légères nuances de couleur des briques tambourinées créent un look rétro chaleureux qui s'harmonise parfaitement avec les maisons classiques. Et , ce qui n'est pas négligeable, mes entrepreneurs aiment travailler avec. C'est donc d'une pierre deux coups.
En tant qu'architecte, Christine travaille principalement dans sa région natale, Hoeilaart. Et même si elle montre l'aspect et le rendu des différents choix de briques à l'aide de visualisations 3D pendant la phase de conception, elle recommande tout de même à ses maîtres d'ouvrage de visiter le showroom Olivier à Courtrai. « Ce n'est pas tout près, mais pour la plupart des gens, une maison est l'œuvre d'une vie. Un rêve qui se réalise. Le choix de la brique vaut donc vraiment le déplacement. Car ce n'est qu'en voyant la brique dans un cadre plus large, avec différents types de maçonnerie et de joints, que l'on découvre son véritable impact. »
Épuré, moderne ou classique avec une touche rétro : en tant qu'architecte, Christine adopte une approche polyvalente. « Je ne travaille pas pour un maître d'ouvrage, mais avec lui. Et quelles que soient ses préférences, je dois me sentir chez moi dans chaque maison que je conçois. Ce n'est qu'alors que la mission est réussie. » Les proportions sont essentielles à cet égard. Tout comme le choix des matériaux. « Les maîtres d'ouvrage ont bien sûr leur liberté, mais je dois moi-même adhérer au projet. Comme je travaille souvent dans le quartier, je croise mes clients dans la rue. Et après 23 ans, ils me saluent tous encore. Cela signifie beaucoup pour moi et pour les briques d'Olivier.
Vous trouverez plus d'informations sur le Kempisch klompje ici.
